Témoignage sur le harcèlement scolaire avec Zoé Clauzure #252

Quand on fait face à des situations de brimades, intimidations, agressions répétées dans le milieu scolaire — que l’on en soit victime, témoin, parent ou éducateur — on cherche souvent un témoignage sur le harcèlement scolaire pour comprendre comment d’autres s’en sont sortis. Où ont-ils trouvé de la force ? Qu'est-ce qui les a aidés ? Ces récits sont précieux : ils donnent des repères, de l’espoir, parfois même un début de solution.

Dans cet épisode des Adultes de demain, la jeune artiste Zoé Clauzure, née en 2010, livre sa propre histoire. Zoé est connue pour sa victoire à l’Eurovision Junior en 2023, sa participation jusqu'en demi-finale dans The Voice Kids. Elle est aussi marraine de la première conférence spectacle portée par des enfants, la Nouvelle Agora. Également ambassadrice de la lutte contre le harcèlement scolaire, elle revient avec une immense sincérité sur les violences qu’elle a subies : moqueries, isolement, insultes, jusqu'aux menaces de mort sur les réseaux sociaux. Aujourd’hui élue « fille de l’année » par le Time Magazine aux côtés de dix autres adolescentes du monde entier, elle publie son livre Tout donner et met sa notoriété au service de ceux qui traversent ce qu’elle a vécu.

Zoé Clauzure : une voix de la jeunesse engagée

Dans cet épisode, Stéphanie d’Esclaibes donne la parole non pas à un expert de l’enfance, comme elle le fait habituellement, mais à une voix qui vient directement de la jeunesse : Zoé Clauzure, chanteuse, autrice et figure engagée dans la lutte contre le harcèlement scolaire. Révélée par The Voice Kids — où elle atteint les demi-finales — et consacrée par sa victoire à l’Eurovision Junior 2023, Zoé s’est imposée comme l’une des jeunes artistes les plus brillantes et les plus inspirantes de sa génération.

En parallèle de sa carrière musicale, elle a été l’une des têtes d’affiche du spectacle Mon Premier Cabaret au Paradis Latin, une expérience marquante dans laquelle on la découvre perchée à 18 mètres de hauteur, descendant en chantant sur la scène. Elle explique :

« Au tout début du spectacle, je suis à 18 mètres de haut […] et quand tu descends de la scène et que tout le monde te regarde d'en haut, c’est assez intimidant ».

Cet engagement artistique va de pair avec une éthique du travail très forte, que Zoé revendique sans détours. Dans l’épisode, Stéphanie d'Esclaibes souligne son professionnalisme et sa rigueur, et Zoé confirme :

« J’adore le travail. Je suis passionnée de travail ».

Une exigence qu’elle partage avec Kamel Wouali, rencontré lors de l’Eurovision Junior, et qu’elle décrit comme « très exigeant », « un amour » et « l’une de mes meilleures rencontres dans le monde de la musique ». Leur collaboration témoigne de cette volonté commune de viser l’excellence.

Au-delà de la scène, Zoé est également marraine de la Nouvelle Agora, première conférence-spectacle portée par des enfants, et ambassadrice active de la lutte contre le harcèlement scolaire. Elle poursuit son engagement à travers ses livres, Tout donner et son journal, où elle partage conseils, organisation et bien-être avec les jeunes.

Élue « fille de l’année » par le Time Magazine, Zoé porte aujourd’hui bien plus qu’un micro : elle porte la voix de toute une génération que l’on écoute encore trop peu — une voix « brillante et engagée », comme le souligne Stéphanie d’Esclaibes, qui rappelle combien nous gagnerions tous à entendre davantage les enfants et les adolescents.

Zoé Clauzure : son témoignage sur le harcèlement scolaire

Les débuts médiatiques : de The Voice Kids aux premières moqueries

Zoé entre dans The Voice Kids à seulement neuf ans, portée par l’enthousiasme des auditions et le rêve de monter sur une grande scène. Mais avant même la diffusion de l’émission, la nouvelle circule dans son école. L’annonce avait été filmée dans une piscine publique, et « il y avait plein de jeunes enfants […] parmi lesquels des gens que je connaissais ». Très vite, l’information se répand et suscite des réactions inattendues : des commentaires, des remarques maladroites, puis des moqueries.

Zoé raconte avoir été surprise par l’intensité des réactions, d’autant qu’elle n’avait parlé de sa participation à personne et pas uniquement pour les règles de confidentialité auxquelles les candidats de telles émissions sont tenues :

« Je n’ai jamais voulu en parler, […] parce que je ne voulais pas que ça s’ébruite. C’est moi et ma passion. Pour moi, ça ne concerne pas les autres. »

Cette discrétion a été source d’incompréhension chez certains élèves, qui ont vécu son silence comme une exclusion ou un secret mal pris. L’admiration attendue laisse place à la jalousie, puis à la méchanceté.

Quand les moqueries virent au harcèlement

Ce qui n’était au départ que quelques remarques se transforme progressivement en véritable harcèlement. Zoé évoque des « critiques », « insultes » et des situations répétées qui s’installent dans son quotidien scolaire. Les attaques ne se limitent plus aux couloirs ou à la cour : elles deviennent systématiques, pesantes, déstabilisantes.

Elle subit alors des violences verbales d’une grande brutalité, jusqu’à recevoir des « menaces de mort ». Ce passage du mal-être à la peur réelle marque un point de bascule dans son expérience d’élève.

Le choc : un groupe WhatsApp nommé « Zoé, on va te tuer »

L’un des épisodes les plus marquants de son témoignage sur le harcèlement scolaire survient au début du collège. Elle découvre l’existence d’un groupe WhatsApp au titre explicite et terrifiant : « Zoé, on va te tuer ».

Zoé explique :

« Ce groupe WhatsApp, c’était une vingtaine de personnes, dont qu’une seule que je connaissais. [...] Dix-neuf autres, ils suivaient juste le mouvement. »

Ce phénomène de groupe est d'ailleurs évoqué par Florence Millot dans l'interview et article sur Que faire en cas de harcèlement scolaire.

Personne ne lui dit ce qui a été inventé, répandu ou exagéré à son sujet. Les rumeurs se propagent dans cet espace privé, invisible aux adultes, et créent un climat d’hostilité extrême.

Elle se souvient du moment où elle découvre ces messages :

« Mon téléphone a sonné une fois, deux fois. Et là, j’ai regardé et j’ai vu plus de 100 notifications. [...] J’ai vu le nom et je me suis dit : ouais, non, pas ça. »

Elle est alors en studio pour enregistrer un album. L’instant aurait dû être un moment de joie : il devient un choc profond.

L’absence de solutions face au harcèlement scolaire à l’époque

À l’école primaire, Zoé se sent seule. « En primaire, j’avais vraiment pas d’amis. Je n’avais que mes parents. » Malgré quelques enseignants attentifs, les réactions institutionnelles restent limitées :

« Quelques profs […] me disaient que ça allait, mais ils n’agissaient pas. »

L’incompréhension atteint son sommet lorsqu’une décision tombe :

« Je ne peux pas assurer la santé mentale et physique de Zoé, donc je vous invite à partir », déclare sa directrice.

Ainsi, comme beaucoup d’enfants victimes de harcèlement à cette période, c’est elle — et non les auteurs des violences — qui doit quitter son établissement.

Cette réalité, Zoé le rappelle, a depuis évolué. Les dispositifs de lutte contre le harcèlement à l'école ont changé, les solutions se sont renforcées, et la parole collective s’est ouverte — un contraste qu’elle évoquera dans la suite de l’entretien.

Harcèlement scolaire : ce qui a changé aujourd’hui

L’histoire de Zoé met en lumière une réalité que de nombreux enfants ont connue : pendant longtemps, les victimes de harcèlement devaient changer d’établissement pour retrouver un environnement sécurisé. Zoé le dit elle-même : à l’époque, aucune solution réelle n’était proposée et :

« c’est toi qui n’as rien fait de mal, mais on te fait comprendre que c’est toi le problème en sortant ».

Depuis, plusieurs mesures, parmi lesquelles le dispositif Phare déployé dans 100% des établissements, ont été mises en place pour mieux protéger les élèves et offrir de véritables recours.

C’est au harceleur de quitter l’établissement : un changement majeur

Depuis 2023, une évolution importante du protocole a été instaurée sous l’impulsion de Gabriel Attal, alors ministre de l’Éducation nationale. Elle prévoit que dans les cas avérés de harcèlement scolaire, c’est l’élève auteur des violences — et non la victime — qui peut être transféré vers un autre établissement.
L’objectif est simple : assurer la continuité scolaire, la sécurité et la dignité de l’enfant harcelé sans lui imposer un déracinement supplémentaire.

Zoé voit dans cette réforme un progrès essentiel. Elle évoque cette avancée comme « une grande victoire » pour tous ceux qui vivent ou ont vécu des situations de harcèlement scolaire.

Le 3018 : un numéro d’aide essentiel pour les enfants victimes

Zoé rappelle également l’existence du 3018, le numéro national dédié aux situations de harcèlement, de cyberharcèlement et de violences numériques. Gratuit, anonyme et disponible 7 jours sur 7, il met en relation les enfants, adolescents et familles avec des professionnels formés, capables d’apporter un soutien immédiat, des conseils concrets et un accompagnement dans les démarches.

Elle en parle explicitement dans l’épisode, en soulignant l’importance de demander de l’aide et de ne jamais rester seul face aux attaques, notamment lorsqu’elles passent par les réseaux sociaux — un point central de son propre parcours.

Les ressources utiles pour accompagner les enfants et les familles

Au-delà du 3018, plusieurs outils existent aujourd’hui pour mieux comprendre, signaler et prévenir les situations de harcèlement :

  • l'autoformation gratuite « Non au harcèlement, des clés pour les familles » pour les parents qui souhaitent mieux comprendre le phénomène de harcèlement entre élèves et savoir comment agir avec l’école pour résoudre ces situations ;

  • la plateforme e-enfance qui délivre des conseils et guides pratiques pour identifier des situations de harcèlement et savoir comment y répondre ; 

  • Le soutien psychologique, avec des professionnels formés (psychologues, thérapeutes, structures d’écoute). Si vous ne trouvez pas de thérapeutes autour de chez vous, vous pouvez contacter des plateformes comme I am strong, dont on avait reçu la confondatrice, Anne-Claire Pracomtal qui s'était exprimé sur le mal-être des adolescents.

  • La sophrologie, que Zoé cite elle-même comme une aide précieuse : « ça m’apaisait énormément ».
    Entre respiration, visualisation et ancrage corporel, ces pratiques permettent de réduire le stress et d’aider les jeunes à retrouver un sentiment de sécurité.

Cette évolution globale montre que la société est de plus en plus mobilisée pour protéger les enfants et adolescents. Zoé, par son histoire et son engagement, contribue à renforcer cette prise de conscience collective.

Les 3 soutiens de Zoé pour affronter ce harcèlement scolaire

Le témoignage de Zoé montre combien un enfant ne peut pas affronter seul des situations de harcèlement scolaire. Dans son parcours, trois appuis ont joué un rôle déterminant : une amie précieuse, une famille profondément soudée, et la musique, devenue son espace de respiration et de reconstruction.

Une meilleure amie « qui a tout traversé avec moi »

C’est au collège que Zoé rencontre celle qu’elle décrit comme « ma meilleure amie, qui est toujours ma meilleure amie aujourd’hui ». Cette amie a joué un rôle essentiel pendant les épisodes les plus difficiles :

  • elle a été la seule à la défendre publiquement ;

  • la seule à lui offrir un soutien constant ;

  • et la seule à lui dire clairement que « ce n’était pas [sa] faute ».

Zoé insiste sur l’importance de cette présence, qu’elle qualifie de véritable soutien moral et émotionnel. Cette amie devient un repère stable alors que tout vacillait autour d’elle.

La place essentielle de la famille

Si l’école n’a pas su la protéger, Zoé a toujours trouvé un refuge solide à la maison. Elle décrit une famille unie, qui prend toutes les décisions ensemble — qu’il s’agisse des choix musicaux la concernant, ou des choix sportifs pour son frère.

Elle explique qu’avec ses parents et son grand frère, la parole a toujours été libre, directe, ouverte :

« On parle à nos parents sans filtre. »

Cette liberté de parler de tout, y compris de ce qui fait honte, peur ou souffrance, a été déterminante pendant sa période de harcèlement. Zoé raconte avoir pu exprimer ses émotions, ses doutes, ses questionnements, sans craindre d’être jugée. Ce climat de confiance lui a permis de ne jamais rester seule face à ce qu’elle vivait.

Zoé souligne d’ailleurs que ce soutien peut prendre des formes différentes selon les jeunes. Elle cite par exemple Orelsan, qui a pu avancer grâce à un groupe d’amis très soudés autour de lui : « Lui, ça a été un groupe de potes. Moi, c’est ma famille. On a tous un peu des proches qui nous accompagnent. » Une manière de rappeler qu’il suffit parfois d’une seule personne — un parent, un ami, un adulte de confiance — pour changer le cours des choses.

Vous pouvez écouter Héloïse Junier qui aide à comprendre les émotions de l'enfant et Rosline Roy qui explique comment accueillir les émotions de l'enfant.

La musique comme refuge

Zoé Clauzure le dit avec une simplicité désarmante :

« La musique, ça a un vrai rôle de médicament. »

Chanter, composer, enregistrer… tout cela lui a permis de mettre à distance la violence qu’elle subissait. La musique devient pour elle un espace où elle peut respirer, se recentrer et se libérer de ce qui l’oppresse. Elle explique combien créer l’aide autant qu’écouter, et comment ces moments ont joué un rôle clé dans son équilibre émotionnel.

Ce lien profond avec la musique prépare naturellement la suite de l’épisode : son parcours artistique, son exigence au travail, ses rencontres, et la manière dont elle transforme aujourd’hui ce qu’elle a vécu en un engagement lumineux.

Pour rappel, dans le plan de sécurité évoqué dans l'article sur les idées suicidaires chez l'adolescent, avec le docteur Trebossen, il est conseillé de lister les activités apaisantes, comme le fut et l'est encore la musique pour Zoé Clauzure.

Entre musique et scolarité : un équilibre essentiel

Derrière sa carrière déjà impressionnante, Zoé reste avant tout une élève. Et pour elle, concilier l’école et la musique n’est pas une option : c’est une priorité. Elle est scolarisée dans une école spécialisée à Paris, pensée pour les jeunes artistes ou sportifs, où les cours se déroulent le matin afin de laisser les après-midis libres pour le studio, le chant, le piano ou les répétitions.

Elle décrit ce fonctionnement comme un système « très américain », parfaitement adapté à son rythme, mais surtout respectueux de chaque élève :

« On est vraiment tous des cas particuliers donc le directeur et tous les profs font très attention à nous. »

Ce cadre lui permet de rester exigeante dans ses apprentissages tout en poursuivant ses projets artistiques avec intensité.

Car Zoé est claire : les études restent une priorité absolue. Elle n’imagine pas une seconde abandonner la scolarité, même face à ses succès. Elle le dit avec conviction : elle veut décrocher un diplôme, poursuivre ses études après le bac et continuer à développer son esprit scientifique.

Un rêve la motive particulièrement : l’ingénierie et l’astronomie. Elle se dit passionnée par les étoiles et les questions qui dépassent notre monde..

Une artiste complète qui se confie : son EP, ses inspirations, ses rêves

Au fil de l’épisode, Zoé Clauzure dévoile aussi une part très intime de son univers créatif. Son prochain EP, qu’elle a coécrit, rassemble tout ce qu’elle a vécu depuis l’enfance : ses émotions, ses peurs, ses questionnements, mais aussi sa curiosité pour l’invisible, le spirituel, l’inexplicable. Elle explique s’être beaucoup inspirée d’artistes comme Billie Eilish, notamment dans la manière d’aborder des thèmes qui « dépassent la pensée » et ouvrent la porte à des interrogations presque mystiques.

Musicalement, l’EP reflète cette diversité. On y retrouve des morceaux piano-voix, héritage de sa formation et de son attachement à cet instrument « qui est comme [sa] deuxième voix ».

Mais on y découvre aussi des titres plus inattendus : « à un moment, il y a une chanson qui démarre très calme et qui, à un moment où on ne s’y attend pas, ça part […] en disco ou techno ». Zoé aime surprendre, créer des ruptures, imaginer des passages que l’on n’entend pas ailleurs.

Elle parle de ce projet comme d’un travail d’orfèvre, minutieux, collectif, où chaque respiration est choisie avec soin :

« Tout est millimétré pour avoir le plus d'émotions possibles quand l'auditeur va entendre. »

Et au-delà de la musique, Zoé nourrit de grands rêves :

  • voyager à New Yorkil y a quelque chose avec New York ») ;

  • aller à Londres ;

  • rencontrer Lady Gaga ;

  • discuter de spiritualité avec Billie Eilish ;

  • devenir parfaitement bilingue en anglais — avec l’accent américain, ou peut-être londonien d'ailleurs.

Des rêves lumineux, à l’image de l’adolescente qu’elle est.

Trouver sa passion : le message final de Zoé

Pour conclure l’épisode, Zoé partage un souhait adressé à tous les enfants et adolescents. Elle le formule avec des mots simples et puissants, à retenir tels quels :

  • trouver « un truc qui nous anime » ;

  • vivre sans « regrets » ;

  • et surtout « faire ce qu’on veut faire ».

Un message qui résonne particulièrement fort avec son propre parcours : celui d’une jeune fille qui a traversé la violence du harcèlement scolaire, mais qui a trouvé dans la musique, dans son entourage et dans son travail une force immense pour avancer.

Le chemin de Zoé Clauzure rappelle combien l’écoute des enfants et des adolescents est essentielle. Leur donner la parole, permet à leurs expériences, leurs vulnérabilités et leurs passions d’émerger.

Le témoignage de Zoé montre que la reconstruction passe par la présence d’une personne de confiance, l’attention d’une famille, l’accompagnement professionnel lorsque c’est nécessaire, mais aussi la possibilité de s’exprimer — par les mots, par la musique, par l’art.

Il rappelle enfin qu’un enfant n’a pas besoin d’être parfait pour être entendu. Il a seulement besoin d’être écouté, cru, accompagné.
Et parfois, il suffit d’une seule parole — « ce n’était pas ta faute » — pour que tout change.

Zoé le dit d’ailleurs très simplement : on ne sort jamais seul du harcèlement. C’est en trouvant la bonne personne, le bon adulte, le bon espace de parole que l’on peut commencer à retrouver de la sécurité et de la force.

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